Lecture 3 (partie 2)

•  M. Jourdain justifie son refus du mariage de sa fille Lucile avec cléonte, en avançant que :

« Je veux avoir un gendre gentilhomme ».

• Parce que M. Jourdain veut devenir "noble", il argumente en utilisant un champs lexical relatif à un groupe social :

"noblesse, gentilhomme, marquise, duchesse"

• Vu que ses argument ne sont pas convaincant, M. Jourdain emploie un ton autoritaire :

« Vous n’aurez pas ma fille ! Ne me répliquez pas ! Taisez-vous ! »

a. Les arguments de Mme. Jourdain

• Elle rappelle M. Jourdain de ses origines qui ne sont pas nobles :

" et votre père n’était il pas marchand aussi bien que le mien ? "

• Mme. Jourdain met en valeur Cléonte en disant :

"il faut à votre fille un mari qui lui soit propre et bien fait."

b. Les arguments de Cléonte

• Il souligne son caractère d'honnête homme en répliquant :

"je trouve toute imposture est indigne d’un honnête homme"

• Il dénigre le rang des nobles en disant :

" Pour la plupart des gens,…ce nom ne fait aucun scrupule à prendre. Un titre dérobé. Je ne suis point gentilhomme."

c. L'argument de Nicole :

• Nicole concrétise les paoles de Mme. Jourdain et de Cléonte en donnant un exemple :

 " nous avons le fils du gentilhomme de notre village qui est le plus grand malitorne et le plus sot dadais que j’ai jamais vu. "

À travers cette scène, Molière critique la bourgeoisie qui se fie qu'aux apparences et cherche par tous les moyens d'obtenir le statut de noble, même en sacrifiant l'amour et le bonheur de ses proches.

On peut dire que le dramaturge soutient l'amour et dénonce l'ignorance des bourgeois de sa société en France du 17ème siècle.