Ici commencent les listes de questions qui permettent à l’individu d’explorer son passé et d’améliorer ses réactions envers l’existence. En langage dianétique, cette section d’audition est appelée « Fil direct ». Il y a des types d’auto-parcours qui sont dangereux pour un préclair. L’auto-audition, sauf dans des circonstances inhabituelles où la préclair est psychotique, n’en fait pas partie.

Dans le cadre de la Dianétique, on peut considérer ces questions comme une préparation à la co-audition. Ces listes assistent l’auditeur, du fait qu’elles « ouvrent » le cas du préclair, le préparent à l’audition des engrammes et des secondaires et le font monter sur l’Échelle des Tons. D’après les résultats obtenus à ce jour, ces listes de questions ne vont pas éliminer les engrammes et les secondaires en tant que tels, mais elles les désensibilisent dans une large mesure, ce qui entraîne une amélioration de la condition mentale et physique de l’individu.

Un auditeur, nom donné au praticien de Dianétique parce qu’il écoute et raisonne, peut employer ces questions pendant une séance avec un préclair. De plus, il est possible à deux personnes de travailler avec ces sections, l’une d’elles posant les questions à l’autre qui y répond, ou toutes deux lisant les questions et tentant de se rappeler tel ou tel incident demandé.

On emploie ces listes de façon répétée ; en d’autres termes, l’individu les recommence maintes et maintes fois. Le travail n’est pas limité dans le temps. La raison pour laquelle le rappel de ces questions est important est qu’elles révèlent et déchargent les locks qui se sont formés au-dessus des engrammes de base (moments de douleur physique et d’inconscience) et des secondaires (moments de perte aiguë, comme la mort d’un être cher). La décharge de ces locks rend les engrammes et les secondaires relativement inefficaces. Un nettoyage dianétique complet des engrammes et des secondaires de l’individu donne les meilleurs résultats possibles, mais ces questions fournissent une audition personnelle qui prépare le cas pour une telle action et sont en elles-mêmes très bénéfiques.

Pendant qu’il emploie ces questions, le préclair risque d’être sujet à de nombreuses manifestations. Il peut ressentir une libération émotionnelle considérable. Il peut se mettre en colère en se rappelant quelque chose qui lui est arrivé, ou avoir envie de pleurer au rappel de quelque perte subie et même se mettre à pleurer vraiment. Cependant, ces questions ont pour but non pas de concentrer l’attention de l’individu sur les mauvaises choses qui lui sont arrivées mais, au contraire, de l’attirer sur les bonnes choses qui se sont produites dans sa vie. Lorsqu’on se concentre sur des circonstances heureuses, les circonstances malheureuses tendent à se décharger et perdent beaucoup de leur impact.

Ces questions sont fondées sur les découvertes, les axiomes et les postulats de la Dianétique, lesquels ont permis à d’innombrables personnes de considérablement augmenter leur compréhension de l’existence et du rôle qu’ils y jouent. On peut considérer que la vie a pour objectif fondamental de survivre dans l’univers matériel. Lorsqu’on examine de près le concept de la survie, on constate qu’il embrasse toutes les activités d’un individu, d’un groupe, d’un état, de la vie elle-même ou de l’univers matériel.

L’univers matériel se compose de matière, d’énergie, d’espace et de temps. On peut donc concevoir que la vie est engagée dans la conquête de la matière, de l’énergie, de l’espace et du temps, y compris les autres formes de vie, organismes et personnes. Si un organisme ou un groupe a réussi à maîtriser d’autres organismes, groupes ainsi que l’univers matériel, son potentiel de survie est très élevé. S’il y a échoué, son potentiel de survie diminue. Ces moments de succès comme ces moments de douleur sont accompagnés d’une charge considérable. Certaines techniques permettent d’éliminer la charge contenue dans les incidents douloureux. Une des façons d’y parvenir est d’amener l’organisme à se concentrer sur les moments où il réussissait à survivre.

En inventant le langage, l’homme s’est créé une source d’aberration inattendue. La société actuelle attache une importance excessive au langage, mais il est loin d’être la seule raison pour laquelle un organisme ne réussit pas autant qu’il le pourrait. Les mots ne sont que des symboles qui représentent des actions. L’enfant apprend très tôt ces actions ainsi que les symboles qui les représentent. Plus tard, il commence à confondre actions et symboles et à attribuer aux mots une force et un pouvoir qu’ils n’ont pas. Si vous croyez qu’ils possèdent force et puissance, mettez la main devant votre bouche et prononcez quelques paroles. Vous constaterez à quel point la force d’énonciation est négligeable, quels que soient les mots que vous utilisez. L’importance erronée qu’on attache à la force des mots provient en fait d’actions physiques dont les mots ne sont que les symboles. Ce qu’il importe donc de savoir, c’est que les mots n’ont aucun pouvoir, contrairement aux actions. Par exemple, l’individu à qui l’on dit de se tenir tranquille n’obéit que parce qu’il a autrefois été soumis à l’action de se tenir tranquille au moyen de la force physique.

Il est important que l’organisme augmente sa mobilité pour de nombreuses raisons. Le fait de découvrir tous les moments où l’on a dit à l’organisme de se tenir tranquille et où il a obéi, a une certaine valeur thérapeutique. Mais c’est la découverte des incidents réels au cours desquels l’organisme a véritablement été amené à rester immobile par la force, qui lui permettra, dans une large mesure, de recouvrer sa mobilité.

Ces listes ont donc tendance à dévaloriser l’importance du langage. C’est là l’une de leurs nombreuses fonctions, mais elle est d’importance. Aussi, lorsqu’il lit ces listes, l’individu devrait diriger son attention sur des moments où une action s’est déroulée, non sur des moments où quelqu’un lui dit qu’une action s’est produite. De même que l’ouï-dire ne constitue pas une preuve admissible pour un tribunal, de même les mots et les phrases que d’autres ont dits à l’individu sont-ils inacceptables en Self-analyse. Par exemple, si on vous demande de vous rappeler un moment où quelqu’un est parti, n’essayez pas de vous rappeler un moment où quelqu’un a dit qu’un autre était parti ou en train de partir. Rappelez-vous le véritable départ physique sans tenir compte de ce qu’on disait.

Vous constaterez que les mots sont transmis aux autres organismes à travers l’univers physique. Par exemple, les sons qui proviennent de l’organisme se transforment en ondes sonores et atteignent l’interlocuteur sous cette forme. Le mot peut aussi être transformé en symboles transcrits à l’encre, qui sont vus alors par un autre organisme, le facteur physique de la lumière entrant également en jeu. Bien que les perceptions extrasensorielles puissent exister, elles ne constituent pas un facteur aberrant.

Nombreuses sont les perceptions, c’est-à-dire les canaux sensoriels, par lesquelles on peut contacter l’univers physique. Vous êtes conscient de l’existence de l’univers physique grâce à vos yeux, vos oreilles, votre bouche et autres systèmes de réception. Ainsi, chaque fois qu’on vous demande de vous rappeler un certain incident, vous demandera-t-on ensuite de mettre votre attention sur un canal sensoriel particulier, actif au moment où vous avez vécu l’incident. Le disque vous est fourni à cette fin. Vous remarquerez qu’il comporte deux côtés où sont imprimés des perceptions ou messages sensoriels différents. À mesure que vous abordez les questions, les unes après les autres, arrangez-vous pour les lire au travers de l’ouverture découpée dans le disque. Tout en passant à la question suivante, faites pivoter le disque dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. Vous obtiendrez ainsi une nouvelle perception. Disons que la question concerne un moment où quelqu’un vous quittait. Vous allez vous rappeler un moment où cela s’est produit et prendre le véritable moment du départ physique. Nul doute que vous allez obtenir une certaine perception de la scène. Peut-être même en contacterez-vous toutes les perceptions. De nombreuses personnes voient, sentent, entendent, etc., lorsqu’elles se souviennent. D’autres personnes sont trop occluses. Ces listes éliminent les occlusions. Donc, lorsque vous vous rappelez la personne qui vous quittait, vous n’êtes pas censé simplement vous souvenir du concept qu’elle s’en allait, mais du moment où elle est véritablement partie, tout en contactant un maximum de perceptions. Le disque qui se trouve au-dessus de la question indiquera, tout en haut, une perception quelconque. Il s’agira peut-être du son. Donc, essayez de recouvrer tous les sons présents au moment où l’individu partait. Concentrez-vous sur ce sens. Si vous n’êtes pas en mesure de retrouver les sons en tant que tels, en les réentendant, retrouvez au moins le concept de ce qu’ils ont pu être.

En examinant le disque, vous constaterez qu’il fournit six perceptions avec lesquelles vous avez contacté l’univers physique. En fait, il y en a bien plus de six.

Disons que le mot émotion se trouve en haut du disque. Vous venez de vous rappeler l’incident demandé par la question. Essayez alors de vous rappeler tout particulièrement et d’éprouver à nouveau, si possible, l’émotion que vous éprouviez à l’époque. En passant à la question suivante, tournez le disque dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. Ce sont les mots volume sonore qui se trouvent maintenant en haut. Après vous être rappelé et avoir perçu l’incident suggéré par la question, portez tout particulièrement votre attention sur le volume des divers sons de l’incident.

En passant à la question suivante, vous allez de nouveau faire pivoter le disque dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. Les mots position du corps vont apparaître tout en haut. Lisez la question et rappelez-vous un incident en le percevant le mieux possible, puis mettez tout particulièrement votre attention sur la position de votre corps au moment de l’incident. Passez à la question suivante et faites pivoter le disque une fois de plus. C’est le mot son qui se trouve tout en haut à présent. Rappelez-vous l’incident en question, puis concentrez-vous sur les sons que vous y entendiez. En passant à la question suivante et en faisant tourner le disque une fois de plus, vous constaterez que le mot « poids » maintenant tout en haut. Portez votre attention sur le poids des choses dans l’incident, y compris la force exercée sur vous par la gravité et le poids de tout ce que vous avez pu réellement porter au moment de l’incident, par exemple vos vêtements, une balle ou autre chose.

En faisant pivoter le disque une fois encore, tout en passant à la question suivante, vous découvrirez, tout en haut, les mots mouvement personnel. Après avoir répondu à la question, concentrez-vous sur les mouvements que vous faisiez au moment de l’incident.

Chaque fois que vous débutez une nouvelle page, retournez le disque. Vous aurez alors une nouvelle série de perceptiques. Lorsque vous ferez cette liste une seconde fois, il est probable que vous ne retomberez pas sur la même perception, car ces perceptions apparaissent évidemment en haut du disque au hasard. Vous avez, disons, répondu la première fois à une question relative à quelqu’un qui venait vers vous, en portant votre attention sur le son comme le demandait le disque. La deuxième fois que vous allez tomber sur cette question, en refaisant la liste, il se peut que vous trouviez le mot émotion en haut du disque. Contactez alors toute émotion que vous avez éprouvée, même si la première fois vous aviez contacté le son. Vous trouverez de l’autre côté du disque les perceptions suivantes : vue, odorat, toucher, couleur, tonalité et mouvement extérieur. La vue est ce que vous avez véritablement vu à l’époque. L’individu dont les perceptions sont bonnes verra de nouveau ce qu’il avait vu au moment où l’incident s’est produit. Donc, le mot vue implique que vous vous concentriez sur ce que vous voyiez au moment de l’incident. Le mot odorat implique que l’individu se rappelle toute odeur présente durant la scène dont il est en train de se souvenir. Le mot toucher implique qu’il se rappelle tout ce qu’il touchait véritablement à ce moment-là, ainsi que la sensation du toucher et la pression. On est toujours en contact tactile avec le monde matériel, ne serait-ce qu’avec les pieds sur le sol ou les vêtements qu’on porte. Le mot couleur, lorsqu’il apparaît en haut du disque, implique que l’individu essaie de percevoir à nouveau les couleurs présentes dans la scène qu’on lui demande de se rappeler. Le mot tonalité implique que l’individu tente de contacter la qualité du son présent au moment de l’incident. Quand le mouvement extérieur apparaît en haut du disque, l’individu doit, en se rappelant l’incident demandé par la question, tenter de percevoir le mouvement qui y est contenu, le mouvement d’autres gens, d’objets ou de l’énergie.

Tandis que vous répondez à ces questions, en vous servant du disque, vous explorez votre existence et tentez, du même coup, de ramener à la surface, avec le plus de réalité possible, les choses que vous avez perçues. Le résultat immédiat est une amélioration de votre perception du monde dans le temps présent. Un des autres résultats est une meilleure mémoire. Un autre encore est la remise en ordre et la ré-évaluation des choses qui vous sont arrivées. Un autre résultat, plus mécanique et fondamental, est la désintensification des expériences désagréables, comme si on les mettait en lumière. Vous penserez peut-être, pendant un moment, qu’il vaut mieux les oublier. Mais, lorsqu’elles sont oubliées, elles ont bien plus d’impact et de qualités destructrices que lorsqu’on les examine.

L’individu constatera, à mesure qu’il répète l’emploi d’une liste, qu’il contacte des incidents de plus en plus anciens. Il n’est pas impossible qu’il se rappelle jusqu’aux débuts de son existence, sans parler de sa petite enfance.

Je le répète, et ne saurais assez insister sur ce point, ces questions exigent que vous vous souveniez de véritables actions physiques, non de déclarations relatives à des actions physiques. Il est parfaitement légitime de se rappeler une scène vue au cinéma ou lue dans un livre. Mais lorsque vous vous rappelez une telle scène, vous devriez, dans le cas du cinéma, être tout à fait conscient de l’écran et du siège, de l’endroit et du moment où l’incident se déroulait. Pour ce qui est du moment où vous lisiez un livre, ne vous rappelez pas la scène que l’auteur voulait faire voir au lecteur, mais la scène de lecture elle-même, en vous souvenant des caractères d’imprimerie, de la chaise sur laquelle vous étiez assis et non de ce que vous imaginiez.

Toutes ces questions reposent, même si cela n’est pas visible, sur une technologie considérable. Ce qui importe, c’est qu’en employant sans relâche cette technique, en parcourant une liste puis une autre et en se rappelant ce qui est demandé, l’individu va considérablement améliorer sa faculté de penser et d’agir, son bien-être physique et sa relation avec son milieu actuel.

Vous découvrirez que la toute dernière liste se nomme « liste de fin de séance ». Cela veut dire qu’après avoir travaillé à une liste, ou vous être audité le temps que vous le désiriez, pendant une certaine période, vous vous reportez à la « liste de fin de séance » et vous répondez aux questions. C’est une action que vous devez faire à chaque fois.

Vous trouverez également une liste intitulée « Au cas où vous vous sentiriez mal à l’aise ». Il s’agit de l’avant-dernière liste de ce livre. Employez-la si, au cours d’une séance de Self-analyse, vous vous sentez « très mal à l’aise ou malheureux ». Elle vous remontera très vite.

Si vous trouvez extrêmement difficile de vous rappeler un incident dans n’importe laquelle de ces listes, sautez la question et passez à la suivante. Si vous constatez avoir des difficultés à répondre à ces listes, vous obtiendrez de meilleurs résultats en demandant à un ami de vous lire les questions.

Si Self-analyse vous rend très malheureux, il est probable que vous devriez soumettre votre cas à l’attention d’un auditeur de Dianétique jusqu’à ce que vous soyez capable de vous tirer d’affaire seul.

Vous pouvez utiliser une liste de nombreuses fois avant de passer à la suivante, ou les parcourir consécutivement sans en répéter aucune. Vous constaterez probablement que la première méthode donnera de meilleurs résultats que de faire ces listes à la file. Vous remarquerez également qu’après vous être rappelé un incident plusieurs fois, même un incident désagréable, il n’aura plus le moindre effet sur vous. Cela signifie que son intensité a diminué et que l’énergie qu’il contenait et qui troublait votre existence est en train de se dissiper. S’il vous est possible de vous rappeler plusieurs incidents du même genre, faites-le. S’ils vous perturbent, parcourez-les de nouveau, l’un après l’autre ; puis répétez cette opération. En langage dianétique, on appelle cette technique « Fil direct répétitif ». Elle permet de désintensifier les souvenirs désagréables. Cependant, ces listes ont pour but de vous amener à vous rappeler des incidents agréables. Les incidents agréables ne se désintensifient pas comme les incidents désagréables. Au contraire, sans même qu’on s’en rende compte, ces incidents agréables, lorsqu’on se les rappelle, désintensifient les incidents désagréables.

Quand vous faites ces listes, tout ce qu’il vous faut savoir, c’est que ce sont des actions qui vous sont demandées, non des mots, et que vous devez employer le disque afin de vous rappeler une perception particulière présente dans l’incident demandé. Au cas où vous perdriez le disque, notez qu’au sommet de chaque page se trouve une liste des perceptions à laquelle vous pourrez vous référer. Si vous employez celle-ci, agissez de la même façon qu’avec le disque, en prenant une nouvelle perception à chaque question.

Utilisez les listes de nombreuses fois. Essayez d’obtenir l’incident le plus ancien possible pour chaque question.

Ne vous contentez pas de répondre par « oui » ou par « non » aux questions. Trouvez un moment véritable de votre vie comme le demande la question. Essayez de percevoir à nouveau ce moment en vous concentrant sur le sens indiqué en haut du disque.

Si les questions vous rendent malheureux, continuez la liste et recommencez-la plusieurs fois. Le malaise se « dissipera à l’usure » après que vous vous serez rappelé de nombreuses fois les incidents malheureux, et il se transformera en soulagement.

Certaines personnes sont effrayées à l’idée de persévérer avec ces questions. Vous avez sûrement plus de cran qu’elles. Le pire qui pourrait vous arriver, c’est que ces questions vous tuent.

Ne soyez pas surpris si vous avez sommeil après avoir répondu à certaines questions. C’est le signe que vous êtes en train de vous détendre. Le moins que ce livre puisse faire pour vous, c’est de remplacer vos sédatifs.

Si vous commencez à bâiller en répondant à ces questions, c’est bon signe. Bâiller est le symptôme d’une libération de périodes d’inconscience passées. Peut-être bâillerez-vous au point que les larmes se mettent à couler. C’est que vous êtes en train de progresser.

Si vous vous sentez très groggy en répondant à ces questions, il ne s’agit là que de « boil-off » ou évaporation de périodes d’inconscience passées. Continuez simplement à vous rappeler l’incident en question ou d’autres qui lui sont similaires et cette sensation s’évanouira, vous laissant plus alerte que jamais. Si vous interrompez ce « boil-off » en mettant fin à la séance, vous risquez de vous sentir de mauvaise humeur ou irritable. Ce « boil-off » peut parfois se transformer en inconscience presque totale, mais elle se dissipe toujours. C’est cette inconscience qui vous empêchait de vous trouver haut sur l’Échelle des Tons.

Il arrive parfois que des douleurs légères, voire aiguës apparaissent et s’en aillent tandis que vous répondez aux questions. N’essayez pas de découvrir d’où elles viennent. Continuez de répondre aux questions et elles s’en iront. Ignorez-les. Ce ne sont que les fantômes de ce qu’on a l’habitude d’appeler les maladies psychosomatiques, anciennes blessures en restimulation.

Cette accumulation de douleur et d’inconscience passées opprime l’individu. Self-analyse fait disparaître ces expériences passées et les désintensifie, du moins en partie, sans que vous ayez besoin d’en connaître le contenu.

Vous trouverez une description complète de ces manifestations et de leur cause dans l’ouvrage de Dianétique, Science de la Survie.

Important : Utilisez ces listes plusieurs fois. Essayez de trouver l’incident le plus ancien pour chaque question.